Je suis âgée de 16 ans, je suis née un 25 Mars dans la très jolie ville de Londres.

Je suis ce que l'on appelle une sang-mêlé. Mon père est un sorcier de sang-pur et ma mère est une vélane.

J'ai eut le bonheur d'être répartie à Serpentard, à la grande fierté de mes parents. Je suis maintenant en sixième année.

Ma baguette magique est en bois de rosier, elle mesure 28 cm 58 et contient un cheveux de vélane ayant appartenu à ma mère.

Mon patronus prend la magnifique forme d'un paon, cette créature belle et majestueuse me correspond parfaitement je trouve.

Mon épouvantard est un chien enragé, j'ai me suis fait morde par un chien petite, et j'ai depuis peur de ces animaux.

Je possède un chat, il s'agit d'une sacrée de birmanie qui répond au doux prénom de Plume. C'est une créature fière, indépendante, et, de temps à autre, affectueuse.

Je ne suis pas une grande amoureuse des cours, néanmoins vous me verrez plutôt attentive en cours de potion, mais aussi de Défense contre les force du mal, et en sort et enchantement... Sinon c'est à peine si je lèves les yeux pour suivre ce qui se passe.

J'ai une passion en effet, je fais partie de la chorale de Poudlard, j'aime bien chanter. C'est une activité agréable, et tout à fait respectable.
 

La maison était vide... Elle était toujours vide. De grande pièce vide, remplit de meubles qui n'avait jamais eut le temps de devenir des souvenir puisqu'on en changeait fréquemment. C'était une galerie, pas une maison, une galerie. Tout était exposé comme il le fallait, et on pouvait y recevoir autant de gens qu'on le voulait pour les entendre s'extasier sur le nouveau salon. C'était un monde fait d'apparence, un miroir reflet glacé. Tracey déambulait d'une pièce à l'autre, il y avait longtemps qu'elle avait cessé d'appeler pour savoir si il y avait du monde. Elle était encore une enfant quand elle avait comprit qu'il ne servait à rien de hausser la voix, ici il n'y avait personne pour vous entendre. Sa mère était une créature sublime, au corps filiforme que son père vénérait. Il n'y avait pas assez de place dans le cœur de cet homme pour deux personne, et Nastasia avait toujours sut accaparer toute l'attention de son époux. Tracey s'y était fait, grandir dans l'indifférence de ses parents n'était pas une fatalité, elle devait faire avec, c'était tout. Elle avait apprit à ne plus guetter les sourires, à ne pas attendre une présence réconfortante après un cauchemar. Petite elle avait passé son enfance chez ses grand-parents paternel pendant que ses parents voyageaient. Eux aussi vivait dans une maison vide, une maison faite d'apparence, un endroit où elle ne pouvait pas briller puisque son sang-mêlé la rendait indigne de sa famille. Depuis longtemps la jeune fille c'était enfermée dans un univers qui lui était propre, enfermant au fond de son cœur un feu fait de haine et de colère qui se consumait lentement. Un grand fauteuil blanc lui faisait face, la jeune fille s'y affala, lançant ses longues et fines jambes par dessus l'accoudoir. Qu'importe... Elle avait Poudlard. Personne ne pouvait l'empêcher d'exister là bas. Tracey avait toujours été très fière d'être une sorcière, c'était toujours avec le même sentiment de bonheur qu'elle serrait sa main autours de sa baguette et réalisait ses sortilèges. Poudlard était une scène permanente où elle pouvait s'exposer en permanence. Enfreignant allègrement les règles, affichant cette moue moqueuse et supérieur qu'on avait apprit à lui connaître. Tracey s'épanouissait dans la maison des verts et argents, rose aux épines vénéneuse parmi les serpents. La jeune fille s'étira, et tendit un bras pour atteindre un livre. Elle l'ouvrit et commença une lecture fastidieuse qui était sensé l'occupé jusqu'à l'heure du prochain repas. C'était toujours ainsi que ses vacances s'écoulaient... Rythmé par les nuits, et la sonnette des repas. Les deux elfes de maison œuvraient en coulisse sans jamais se faire voire. Petite elle passa tout son temps dans les cuisines pour avoir un peu de compagnie... Malheureusement les petites créatures ne pouvaient parler que pour répondre à un ordre, aussi leur conversation était-elle totalement inintéressante et elle s'était désintéressée d'eux en grandissant. Nastasia Davis refusait que les elfes de maison se promène dans l'immense appartement tant qu'un membre de la famille risquait de les voire. Elle n'avait jamais supporter la laideur, passant des heures à prendre soin d'elle et à admirer sa beauté ensorcelante. Miroir, miroir magique au mur, dis moi qui a la beauté parfaite et pur?, petite on lui avait lu Blanche Neige. Tracey avait par la suite passer de longues années à penser que si elle surpassait la beauté de sa mère cette dernière la tuerait... Même encore maintenant elle n'était pas vraiment sûr de ça. L'adolescente reposa sa lecture, et se leva pour faire quelques pas. Une chouette frappait du bout de son bec à une fenêtre, naturellement personne ne viendrait lui ouvrir puisqu'elle était seule à la maison. Elle observait un long moment l'animal aux yeux doré, avant de se diriger vers la fenêtre. Il tenait un parchemin à l’écusson reconnaissable entre tous : Poudlard. Un sourire s'étira sur ses lèvres, enfin... Enfin l'école se faisait connaître, signe qu'il restait moins d'un mois avant de retourner en cours. Tracey laissa entrer l'oiseau, et entrepris la lecture de ses fournitures. Une fois de plus son esprit divagua vers des souvenir. Souvenir d'une matinée où tout les miroirs de sa mère s'était inexplicablement transformer en miroir déformant alors que Tracey ruminait un moyen d'attirer son attention. L'apparition de pouvoir qui était passé inaperçu, mais qui avait rassurer la jeune Davis quant à son avenir...

De long cheveux d'un blond pâle descendent en cascade jusque dans le creux de ses reins, là, en bas de son dos... caressant doucement le haut de ces pantalons moldu qu'elle affectionne tant. Les pointes s'achève sur de douce ondulation, qui apporte des formes agréables à ce qui n'aurait été que des lignes sans saveur. En remontant le long de ses mèches délicate, on atteint un visage aux traits fins. Si vous avez de la chance un léger sourire sera poser sur des lèvres d'un doux rose pâle, et ses yeux gris-bleu brilleront d'un éclat affectueux... Si vous êtes malchanceux alors le sourire sera venimeux, menaçant, un poison au goût divin, et les deux perles brilleront toujours, mais d'un éclat menaçant, annonciateur de l'orage qui se prépare. Quoiqu'il en soit, il seront probablement mit en avant pas un noir intense et charbonneux, leur conférant ce quelque chose de mystérieux dont elle sait se faire un atout. En redescendant le long de ses joues, en passant sur sa gorge délicate, on constate que son corps est menu, et qu'il s'en dégage une beauté étrange car elle est la fois brute et fragile. Brute, car il y a quelque chose de fort qui se dégage de ces courbes subtile, fragile car elle semble si frêle... si facilement brisable. Maintenant vous vous éloignez un peu pour apprécier l'ensemble. Tracey vous fais face, amusée par vos regard. Elle n'est pas très grande quand on la regarde comme ça, mais il y a, indéniablement, quelque chose qui se dégage de la jeune fille... Quelque chose d'ensorcelant.



Tracey ne s'est jamais considérée comme quelqu'un de méchant. En effet, on peut dire qu'elle n'est pas fondamentalement mauvaise. D'une manière générale, si il avait fallut résumer son caractère, on vous aurait dit que Miss. Davis était d'abord, et avant tout, une adolescente, avec tout ce que cela impliquait d'insouciance, d'orgueil mal placé, de refus des règles et d'inconscience. Tracey aimait s'amuser, elle montrait chaque jour un talent un peu plus prononcer en ce domaine. Elle aimait vivre dangereusement, escalader les toits du château en pleine nuit, entrer dans la forêt interdite, enfreindre les règles autant qu'elle le pouvait. Son mépris total des règles s'accompagnait d'un caractère provocateur, moqueur, et parfois même méchant. Tracey ne fait pas sciemment du mal, mais elle n'accorde pas beaucoup de considération à ceux qui ne font pas partit de ses proches, aussi finit-elle par en faire indirectement. La fin justifie les moyens, et la manipulation est devenue un rt dans lequel elle excelle au quotidien. De même elle a fait de la séduction un art de vivre, ses dons de vélane s'avérant alors d'une grande utilité dans ce domaine. Particulièrement fière, la jeune fille déteste se faire dicter sa conduite, et ne supporte pas très bien les reproches... Pour tout dire elle part au quart de tour si on insiste un peu trop sur ce qu'elle aurait put mal faire. Cependant Tracey n'est pas qu'une enfant capricieuse, c'est aussi une jeune fille joyeuse, pleine de vie, qui ne demande qu'à découvrir le monde. Étonnamment douce et compréhensive avec ceux qu'elle aime, Tracey est capable d'afficher deux visages totalement opposé qui en on surprit plus d'un.

Ici.

22 ans

Taylor Momsen

04/07 jours.

07/10.

Via PRD

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J'ai adoré le concept de forum nostalgie ! Un contexte simple pour mieux se replonger dans la magie des livres, excellente idée !