Je suis née le 5 décembre 1996 a Kyoto.

Je suis une Sang-mêlée et plus que fière de l'être!

Cette année je rentre en septième année d'étude et je suis l'une des élèves de la maison de Rowena Serdaigle!

Baguette de 26 cm en bois de bouleau blanc avec des gravures bleus dessus, composée de poussière de coeur de kitsune.

Un loup blanc aux yeux sombres..

De la fumée noire, épaisse, avec cette odeur qui vient vous brûler la gorge...

Un chat Mau Egyptien Silver, c'est-à-dire de couleur argentée et noire. Il s'appelle Momo et à 7 ans. Autour de son cou pend une petite chaîne avec un bijoux bleu foncé comme les couleurs de ma maison.

Les érudits qui veulent tout connaître... C'est vite dit! Je suis plutôt du genre à papoter et à faire rire en cours... Mais j'ai malgré tout des notes exemplaires!
J'excelle notamment en métamorphose et sortilège et j'adore ces matières tout comme j'adore le soin aux créatures magiques l'option que j'ai prise lors de ma 3eme année d'étude. Par contre j'ai tendance à être celle qui rate le plus les cours d'Histoire de la magie...

Je suis l'une des rares filles à faire partie de l'équipe de Quidditch des Serdaigles, je suis poursuiveuse.

Je suis née une nuit de décembre particulièrement froid, je respirais mes premières bouffées d'air que déjà mes parents me prenaient dans leurs bras avec un sourire, âtre accueillie au monde avec une telle vague d'amour et de tendresse ne pouvait que me promettre de belles choses et ce fut le cas, notamment au départ...

Ma mère était une riche londonienne, une voyageuse, une aventurière qui se moquait bien de descendre d'une riche famille de sang-pur, elle se baladait aux quatre coins du monde pour en apprendre plus sur les magies du monde et son voyage la mena à Kyoto... C'est là qu'elle rencontra mon père, un simple moldu japonais qui ne savait rien de la magie. Elle arrêta alors son épopée à Kyoto et ils se marièrent quelques années plus tard. Ils s'aimaient énormément et vivaient heureux dans une petite maison typique près d'une petite forêt de bambou. Ma mère lui apprit rapidement son secret ne souhaitant rien cacher et son mari et il garda ce secret avec elle.

Je vis donc le jour dans un foyer aimant et comblé de bonheur. Même enfant j'étais déjà une chipie, apprenant vite, grandissant sous le regard fier de mes parents, mon père jouant avec moi, ma mère m'enseignant tout du monde magique. Je ne m'ennuyais jamais, mais comme toujours les bonnes choses ont toujours une fin... J'aurais tant aimé pouvoir profiter plus longuement de mon bonheur. J'avais 6 ans, mon père était au travail et j'avais fait des chichis pour pouvoir rester à la maison avec ma mère et profiter du soleil. Nous étions toutes les deux étendus sur notre terrasse en bois, fixant les bambous se tordre doucement sous le souffle de la brise sèche de l'été. Nous rigolions toutes les deux, tranquilles, loin de tous, seules... Mais pas pour longtemps.

Nous vîmes une personne toute vêtue de noire s'approcher de notre maison, je ne compris pas pensant à un passant assez original pour porter du noir par cette chaleur. Mais ma mère me tira par le bras dans la maison, les coups fusaient, des lumières fendant les paravents qui séparaient les pièces, un coup vint me frapper en plein dos tel un coup de fouet traversant mes deux omoplates mais déjà ma mère me lança un sort pour empêcher l’hémorragie et me portait contre elle pour que je ne lui échappe pas, je pleurais ne pouvant crier tellement j'étais effrayée. Puis nous finîmes par sortir de la maison, l'autre toujours à nos trousses. Elle m'avait de nouveau posé à terre tandis que l'on se perdait dans la forêt, main dans la main le souffle haletant, les larmes coulant le long de mes joues, mais notre assaillant c'était arrêté à l'entrée de la forêt. J'eus simplement le temps de jeter un coup d'oeil apeuré vers ma mère alors que son visage se décomposé, comprenant sûrement pourquoi la chasse n'avait pas continué dans la forêt...

Tout alla très vite, ma mère me plaqua contre elle brandissant sa baguette tandis que la chaleur montait, les flamme dévorant les arbres nous entourant, la fumée nous aveuglant malgré le sort de protection de ma mère. Elle tenta de nous transplaner à l'extérieur de la forêt mais elle ne parvenait pas à passer les frontières de la forêt nous renvoyant directement en son centre. Puis ma mère finit par comprendre que c'était elle qui était bloquée, pas moi, que le fait que je sois avec elle m'empêchait de m'enfuir. Elle s'accroupit alors vers moi tandis que son sort s'affaiblissait... Un sourire empli d'amour apparut sur son visage tandis qu'elle me disait à quel point elle m'aimait et à quel point elle était désolée. Je ne comprenais pas mais inconsciemment je m’agrippais à son cou, ne voulant pas la lâcher, la fumée me brûlant les yeux, pleurant et hurlant n'aimant pas ces adieux. Puis je fus propulsée à une vitesse surprenante, me retrouvant hors de la forêt qui brûlait à grosses flammes, l'homme était parti et je fixais ma mère qui continuait de me regarder avec le même sourire avant d'être avalée par les flammes... Je sus qu'elle était morte lorsque je sentis le sang de ma blessure au dos couler de nouveau... Les villageois s'étaient pressés de nous venir en aide, mon père tentant de m'éloigner en vain... Mais il était trop tard, ma mère n'était plus... Il ne me restait d'elle que son collier que j'avais arraché à son cou lorsqu'elle me sauva.

Mon père fut dévasté, je l'étais aussi, nous ne pouvions compter que sur nous deux désormais, on reçu à cette époque beaucoup de soutien des villageois mais rien ne pourrait nous ramener celle que l'on chérissait tant... Les jours passait et je fis de mon mieux pour aider mon père, beaucoup s'étonnait que je reprennes aussi rapidement, mais j'étais anéanti, je ne voulais juste pas que mon père ai cela en plus à supporter. J'enfouis donc à partir de ce moment là cette tristesse au plus profond de mon âme, pleurant lorsque j'étais seule, me réconfortant moi-même, soutenant mon père faisait en sorte que l'on tienne le coup, sachant que je parviendrais un jour à venger ma mère mais que pour cela il me fallait être plus forte. Le collier de ma mère toujours accroché à mon cou.

Les années passées ma mère me manquait horriblement tout comme elle manquait énormément à mon père qui était toujours aussi dévasté. Mais je parvenais à lui redonner le sourire en grandissant. Puis à mes onze ans je reçus une heureuse nouvelle. La possibilité d'étudier dans la même école de ma mère, Poudlard... Mon père n'hésita pas un instant, sachant très bien que je rêvais de faire comme ma mère et d'exploiter mon potentiel de sorcière. Ce fut la première fois que l'on quittait le Japon, main dans la main tous deux prêts à avancer. C'est sur le chemin de traverse que je vis pour la première fois l'ampleur du monde que me contait ma mère, le regardant avec des yeux émerveillés, sachant déjà tout mais pouvant désormais mettre des images sur les dires de ma défunte mère. Ce fut à Gringotts que j'appris que j'avais hérité de l'argent de ma mère, son argent de sorcier qui me servait de jouet quand j'étais petite ne sachant pas ce qu'il représentait.

Puis vint le jour de passer le mur d'accès à la voix 9 3/4, toujours main dans la main avec mon père je le quittais avec le même sourire que j'avais toujours eut, ravalant mes larmes face à son sourire et son regard triste de me voir partir, je lui promis des nouvelles et il me fit promettre de profiter autant que possible. Promesse que jusque là j'ai toujours tenu. Je me sentais comme chez moi à Poudlard, heureuse de me retrouver dans la même maison que celle où avait été répartie ma mère je m'amusais tous les jours, riant, m'amusant, faisant les pires bêtises, profitant des vacances pour rejoindre mon père qui avait quitté le Japon pour s'installer à Bristol pour être plus près de moi et ne plus se retrouver seul dans cette maison emplie de souvenirs. Il regagnait en gaieté et le voir ainsi me donner de plus en plus envie d'avancer.

Une nouvelle année commence, comme toujours ma main est plongée dans celle de mon père alors que nous courrons comme des enfants vers le mur de la gare de King's Cross, mon collier toujours ballant autour de mon cou. Un nouvel au revoir à mon père sur le quai, une bise, un sourire, des promesses de courriers et de nouvelles, des projets de prochaines visites, des rires quand à mon assiduité en cours, un dernier sourire avant de rentrer dans le Poudlard express un sourire ravi aux lèvres.

Une nouvelle année commence Maman...

Je suis d'origine japonaise je suis donc de taille plutôt petite et très fine, mais étant un garçon manqué je suis quand même légèrement musclée. J'ai la peau très pâle, légèrement rosie au niveau des joues et des lèvres, mes yeux sont bridés tenant cela de mon père japonais et ils sont de couleur marron foncé. J'ai des cheveux brun et d'ordinaire cours or je suis quelqu'un qui adore le changement et j'ai apprit deux trois sorts qui me permettent de les rendre longs ou mi-long lorsque j'en éprouve l'envie, de même que parfois je me fais des mèches de couleurs (bleu lorsque je me sens d'envie de vanter ma maison, rose quand je suis contente, rouge à l'inverse etc....). De même j'ai divers piercing aux oreilles, j'ai aussi un piercing à l'ongle de mon auriculaire gauche et des tatouages: un à l'intérieur de mon poignet gauche, un second en haut de ma nuque à la racine de mes cheveux, un troisième autours de ma cheville et un dernier dans le dos.
J'ai toujours une manucure rigolote, ajoutant des strass et paillettes en plus de mon piercing que je changes souvent.
Pour ce qui est du style vestimentaire j'ai beau avoir l'air d'un garçon manqué j'aime malgré tout prendre soin de moi et de mon style. J'aime beaucoup rajouter quelques pins à mon uniforme de Poudlard, rajoutant un peu de gaieté et me différenciant à ma manière, sinon lorsque les cours sont fini j'ai un style un peu grunge tendant parfois vers le punk de rue ou encore le casual. J'aime les couleurs et j'allierais souvent des vêtements à la base sombre avec divers accessoires de couleurs, car oui je suis la reine des accessoires, bijoux, piercing, chapeaux et autres joyeusetés, je ne m'en lasse jamais... Je ne me sépare jamais de mon collier, un collier ancien très vintage qui appartenait à ma mère je l'ai ensorcelé pour qu'il reste fixer à mon cou tant que je le désire.
J'ai une cicatrice fine blanche qui rejoins mes deux omoplates en une ligne droite semi-parfaite, cicatrice autour de laquelle j'ai fait faire un tatouage de fleur de cerisier pour lui ôter son aspect macabres et les mauvais souvenirs qui s'y raccrochent.


Je n'ai pas eut une vie très facile, comme beaucoup, mais je ne me suis pas laissé tomber dans cette dépression que beaucoup accueillent à bras ouvert, non je suis une battante et je n'aime pas montrer quand je ne vais pas bien. Je suis donc resté une jeune fille agréable, marrante et aimable.
Je suis une vrai casse-cou et j'aime faire mon garçon manqué, mais je n'en reste pas moins très féminine et reste coquette sur certains points. Je suis à l'écoute et importe aucunes importance au rang des autres. En effet, qu'ils soient de sang pur ou non, grand ou petit, aux yeux bridés ou non, je m'entends avec tout le monde sauf avec ceux qui bien sur décident le contraire.
Je ne suis pas du genre à me laisser faire. En cours je suis moyennement attentive, ça ne m'empêche pas d'avoir de bonnes notes (la preuve je suis toujours à Poudlard et j'ai toujours eut de bons résultats) mais je préfères aller me dorer au soleil ou m'avancer dans le programme. Oui je suis une grande curieuse aussi ça causera surement ma perte un jour!
Bien que je n'aime pas me plaindre ou dévoiler ce que je ressens vraiment je suis très à l'écoute d'autrui, je m'accroche assez rapidement sans me laisser berner non plus. Je me mets très rarement en colère mais quand ça m'arrive c'est que l'on m'a vraiment poussé à bout...

Lou.

20 ans.

Aya Ueto.

5-6/07 jours.

7/10.

Par le Baka de service qui se fait appeler Ethan ici!

Ce ne sont pas nos aptitudes qui montrent ce que nous sommes, ce sont nos choix.

Ici.